LE LOVEMETRE DE MAI

LE LOVEMETRE DE MAI

Ce mois-ci, vous échapperez de justesse à l’intro « En mai, je fais ce qu’il me plaît », mais pas à ces nouveautés-là qui font du bien au moral, au couple et à la libido.

A dévorer : Beautiful Bastard
 
Que celle qui n’a jamais fantasmé sur quelqu’un au bureau jette le premier stylo 4 couleurs. Le fameux adage du « No zob in job » se fait des poils blancs devant la tension sexuelle qui s’invite de plus en plus entre les quatre murs de l’open space.
Si le gros badge de votre collègue vous fait un effet dingue (ou s’il sent mauvais dans sa chemise en synthétique mais que vous voulez vous évader), plongez-vous dès le 2 mai dans la lecture de Beautiful Bastard : on y découvre l’histoire torride entre l’arrogant Bennet Ryan et sa belle assistante Chloé Mills…
 
Beautiful Bastard , Christina Lauren, éditions Hugo Roman. 17 euros.
 
A essayer : des sous-vêtements vibrants
 
Pour exciter son amant à distance qu’on se le dise, les sextos, c’est so 2012. Aujourd’hui on le fait vibrer au sens propre, grâce à des sous-vêtements 2.0 dévoilés dans le projet Durex Fundawear. Le concept est simple (mais tordu) (mais simple) (mais tordu) : équiper une gamme de sous-vêtements (boxers, culottes, soutien-gorge) de mini-capteurs vibrants, et proposer une application permettant de les déclencher à distance. Pour l’instant l’heure est au test, et seule une poignée de coquin(e)s pourra tenter l’expérience. Pour avoir une chance d’en être, inscrivez-vous sur la page Facebook de Durex Australia.
 
Séduction au poil
 
Dans son numéro de mai, le magazine Evolution and Human Behavior a publié une étude sur le sex appeal de la barbe. 10 hommes ont été photographiés à quatre étapes de la croissance de leur barbe, de glabres à plus barbus que votre belle-mère. 350 femmes et 177 hommes ont été interrogés sur les photos, en fonction de plusieurs critères : attractivité, masculinité, capacités parentales…
And the winners are, contre toute attente, les deux opposés : le rasé de près et le barbu touffu. Entre les deux ce dernier l’emporte d’un poil, en recueillant plus de suffrages en termes de capacités parentales supposées. Et si pour nous faire respecter en tant que mères, on n’avait plus qu’à se laisser pousser la moustache ?
La barbe de cinq jours fait, quant à elle, chou blanc, à la consternation générale (la nôtre en tout cas). Selon les chercheurs, ce résultat s’explique par la complexité du signal envoyé par une barbe à la densité variable. Autrement dit : « comment je suis censée te considérer rapport que tes poils mi- longs côtoient des cm2 de parcelle glabre, je ne sais pas je ne sais plus je suis perdue ». Non, vraiment, on n’a pas des vies faciles.
 
A suivre : le docu sur le baiser de Marseille
 
Vous n’avez pas pu passer à côté de cette photo qui a fait le tour des réseaux sociaux : le 23 octobre dernier, deux étudiantes s’embrassent sous les yeux ronds des participants à la manif anti-mariage pour tous. Immortalisé par Gérard Julien (AFP), le cliché est devenu symbole et on l’imagine déjà ornant les livres d’histoires de nos enfants et petits-enfants… En attendant, la journaliste et réalisatrice Valérie Mitteaux s’est attelée à la conception d’un documentaire télé prenant appui sur ce baiser culte. Les 7 000 euros nécessaires ayant été réunis, le tournage débutera dans les semaines à venir.
 
source : www.elle.fr
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